Auteur : Mimi Yuy

Email : mimimuffins@yahoo.fr

Origine : Gundam Wings

Disclamer : Alors G-boys & Co. pas à  moua mais à eux là bas au pays du soleil levant. ^_^

Genre : Western Yaoi

Couples : classique ^_^

 

 

Washington DC.

 

 

Chap 7 : L’enterrement.

 

Assit sur le rebord du lit, Duo tenta de revivre avec calme les deniers évènements.

 

Il y avait eu l’annonce d’un attentat sanglant ayant touché la délégation pour la paix dans laquelle se trouvait James Noventa et sa famille. Suite à quoi il s’était précipité sur les lieux pour y découvrir un spectacle sanglant.

Ayant retrouvé miraculeusement Heero seul survivant au beau milieu des débris, il avait tenté sans succès de détacher sa prise sur les corps sans vie de ses parents. Mais seule sa perte de conscience y était parvenue.

Jusqu’à cet instant, le regard d’Heero n’avait jamais été posé sur leur cadavre. Si ses mains caressaient leur corps méconnaissable, son regard bleu glacial était resté fixé sur la carcasse sans vie de ce qui avait été un cheval majestueux de beauté. Plus qu’une monture, une compagne de route avec qui Heero avait partagé des années de confiance.

 

C’était trop.

Trop dur.

Trop de perte en une seule fois pour un seul homme.

 

Toujours assit sur le rebord du lit, Duo observait son compagnon dont l’âme meurtrie devait frôler le gouffre. Après le réveil étrangement câlin d’Heero, son manque de participation évidente à ses caresses l’avait semble-t-il définitivement ramené à la réalité. La cruelle vérité. Dés lors, le jeune métis s’était levé pour échapper au regard de son compagnon. Sûrement voulait-il ne pas lui montrer sa peine. Cacher ses larmes qui avaient plus que le droit de couler. Duo maudissait ce destin s’acharnant à leur offrir du bonheur pour mieux le leur arracher par la suite. Leur vie ne serait donc jamais qu’enfer ?

 

Plus que personne, Duo connaissait la douleur d’être le seul survivant. Et pour ne s’en être jamais remis, il savait quelle souffrance envelopperait à vie le cœur de son amant. Voulant lui montrer son soutien, il s’approcha d’Heero pour poser doucement sa main sur lui.

 

Mais la réaction fut immédiate et… presque brutale.

Heero le repoussait d’un geste d’épaule flagrant.

 

- Heero.

- Tu devrais te presser. Nous sommes en retard pour le boulot.

- Que…

 

Pourquoi ? Pourquoi avait-il cette voix glaciale avec lui ?

Pourquoi le repoussait-il ainsi ?

Il n’avait rien fait. Il…

 

A peine Duo voulu-t-il ajouter quelques paroles qu’Heero enfin habillé s’apprêtait à sortir de la chambre.

Pourtant il n’en fit rien. Restant immobile un instant devant la porte ouverte, il fit demi-tour pour venir déposer un simple baiser sur le front de son compagnon. Un baiser suivit d’une étreinte si ce n’est amoureuse, du moins douce et non empressée.

 

- A tout de suite Duo.

 

Sans plus attendre, Heero sortit pour de bon, laissant le natté indécis quant à l’attitude à avoir face à cette réaction quelque peu inattendue.

Chacun réagissait à sa peine à sa manière. Et à l’évidence, Heero yuy n’était pas homme à pleurer dans les bras de son amant. Soupirant à ce constat, Duo regarda l’urne contenant les cendres de Wings. Que Heero le veuille ou non, il allait pourtant falloir qu’ils parlent de tout cela.

 

Quand il descendit à son tour dans les cuisines du Gundam Wings, Duo n’y trouva que Wufei. Dés son entrée, le chinois lui tendit une chaise pour l’inciter à s’asseoir pendant qu’il lui servait une tasse de café.

 

- Ca va mieux ce matin ?

- Oui. Merci.

 

Ca faisait du bien un peu de chaleur humaine après le froid polaire nommé Yuy.

 

- Tu as vu Heero avant que je n’arrive ?

- Oui. Il est venu ici mais Sally s’y trouvant, elle a exigé qu’il la suive pour une auscultation rapide. Ne t’inquiète pas.

- Il… Il me rejette.

- Quoi ?

- Je… J’ai peur qu’il ne m’en veuille. Qu’il me rende responsable.

- Bien sur que non Duo. En quoi serais-tu responsable de quoi que ce soit ? C’est le contre coup, s’il est un peu froid avec toi. Tu dois lui laisser un peu de temps. Cette catastrophe ne va être facile pour aucun de vous deux.

 

Apaisé par cette explication coulant de source, Duo fut rassuré. Wufei et lui avaient beau paraître ne pas s’apprécier ou se chercher continuellement, ils se savaient tous deux présents à tout instant pour l’autre.

 

- C’est le journal du jour ?

- Oui. Je viens de le finir, tu peux le prendre si tu veux.

 

Sans grande motivation, Duo se saisit du Washington Post pour y trouver à la Une un clicher des restes de l’attentat. C’était une photo ne montrant qu’un cheval écrasé sous une calèche calciné.

 

« …Hier matin a eu lieu l’une des pires catastrophes de ces dernières années….. Ce que tout le monde nomme aujourd’hui « l’incident Noventa » c’est déroulé dans le quartier de Georgetown lors du déplacement d’une délégation pour la paix…… Les représentants des conciliations pour la paix entre les minorités ont été victimes d’un attentat sans précédent…. Le candidat aux élections, nommé gagnant, a ainsi péri dans l’incident….. Les témoins parlent d’une scène de massacre sans précédent pour la capitale jusqu’alors restée éloignée des conflits armés…. Le sénateur Dekim principale adversaire du sénateur Noventa dans la course à la présidentielle, s’est dit peiné et révolté face à l’annonce de la mort d’un homme de courage et de talent…» 

 

*-*-*-*

 

A la lecture de l’article de la gazette locale, Quatre soupira lourdement. Pourquoi la vie n’avait-elle pas décidé de laisser tranquille ses deux amis ? C’était définitivement trop cruel ce qui leur arrivait. Sentant l’onde protectrice et rassurante de Trowa venant à lui, Quatre tacha de retrouver son propre calme. Ils n’avanceraient à rien, si eux même n’étaient pas capables de prendre le recul suffisant sur leur peine pour venir en aide à leurs amis en pleine douleur.

 

- Un problème little one ?

- Oui. Alors, nous partons pour Washington.

- Tu veux dire maintenant ? Je croyais qu’il te restait encore quelques projets qui ne pouvaient se terminer sans ta présence ?

- Il le faudra bien. Nous devons être au plus tôt là-bas. Prépare tes bagages nous partons dans deux heures.

 

Disant cela, Quatre donna le journal à Trowa qu’il comprenne par lui-même les raisons de ce départ précipité.

A la lecture rapide des premières lignes et du nom des victimes citées, le français acquiesça

 

- Nous emportons Zéro.

- Quoi ?

- Ne t’inquiètes pas. Lui et mes bagages seront prêt dans deux heures.

- B... bien.

 

*-*-*-*

 

Il fallu moins de temps à Quatre et Trowa pour arriver à bon port qu’il n’en avait nécessité pour Heero et Duo. Etre gouverneur donnait droit à nombre de facilités et accélérations. Le train ne les avait-il pas tout simplement attendu trois heures pour qu’ils partent sans attendre le suivant !

 

En ce petit matin de printemps, les deux hommes descendirent d’un wagon de première classe. Laissant Quatre se charger de leurs nombreux bagages, Trowa partit récupérer les trois chevaux les ayant accompagné dans leur périple. Sachant que leurs amis avaient investit le Gundam Wings, c’est à cette adresse qu’ils se rendirent sans tarder.

 

-Quatre !!

 

Voyant son meilleur ami dans le hall d’entrée de l’hôtel encore fermé, Duo fondit littéralement dans ses bras pour y rester un temps infini. Il était si heureux de le retrouver ! Si heureux.

 

- Surtout, ne pleure pas Duo. Je t’en pris où je ne tiendrais pas longtemps moi aussi.

 

Devant leur attitude plus enfantine que masculine, les deux hommes en auraient rit si les raisons de leurs retrouvailles précoces n’étaient pas si dramatiques.

 

- Vous êtes là ? Je ne comprends pas, vous ne deviez venir que dans un mois !

- Duo. Même si ce n’est pas grand-chose, que nous ne servons à rien, nous voulions être à vos cotés.

- Merci.

 

Son effusion terminée Duo en donna autant pour Trowa avant que Quatre ne parle à nouveau.

 

- Heero est là ?

- Non, il est parti en avance. On peut dire que vous arrivez à temps car l’enterrement est prévu pour dans deux heures. Il devait signer une énième pile de papiers officiels avant la cérémonie.

- Je vois. Comment va-t-il ?

- Je l’ignore Quatre. Il ne me parle pas. Prend tout sur lui. Ne partage rien.

- Laisse lui du temps.

- Wufei me l’a déjà dit mais ça fait bientôt cinq jours ! [1] C’est à peine s’il conçoit de m’informer de ce qu’il fait durant la journée.

- Ne t’inquiètes pas inutilement Duo. Je suis certain que tout va s’arranger.

 

L’heure avançant, Quatre et Trowa s’installèrent dans l’une des deux chambres leur étant assigné avant de se changer pour une tenue sombre de circonstance. Suite à quoi, tous partirent au cimetière, accompagnés d’Hilde malgré les refus insistants de Sally.

 

Sur place, l’atmosphère était pesante et la cérémonie très officielle chargée de politiciens. Plusieurs centaines de personnes avaient tenu à être présente à l’église puis à la mise sous terre. Devant eux, Heero Yuy, reconnu officiellement comme le fils unique du couple dont on glorifiait la vie à cet instant. Contre toutes les convenances, s’il ne pouvait empêcher leur présence, l’homme refusa d’entendre la moindre de leurs condoléances. Restant éloigné de toute personne, il refusait d’accepter l’hypocrite réconfort d’hommes et de femmes ne le connaissant même pas.

 

Ayant bien compris sa volonté, ses amis restèrent autour de lui sans pour autant venir lui parler. Véritable barrière hermétique, ils empêchèrent sans faux-pas la moindre approche des quelques personnalités n’ayant pas assimilé les consignes expressément notées sur les faire-part.

 

Quand la cérémonie fut terminée, que tous s’éloignèrent enfin de lui, Heero sentit qu’il restait encore quelqu’un à ses cotés. La seule personne qu’il acceptait de voir sans contrainte depuis le début de cette trop longue semaine.

 

- Heero ?

- Rentrez sans moi. Je dois aller à la villa.

- Je peux t’accompagner ?

 

Heero voulait dire non. Mais finalement, il se ravisa. Garder ses distances avec les étrangers était une chose, repousser Duo n’était pas acceptable. D’autant qu’il réalisait n’avoir pas fait beaucoup d’effort à son égard jusqu’ici. Aussi se tourna-t-il vers son compagnon pour croiser son regard. Les yeux tirant sur le mauve étaient toujours noyés de douleur comme à l’instant où ils s’étaient réveillés l’un près de l’autre après…. Après…

 

S’approchant de Duo, Heero l’embrassa doucement avant de serrer cette main venue ce jour-là encore à lui.

Toujours…

Duo avait perdu une nouvelle famille et en cela, c’était lui la vraie victime de ce drame. Alors à présent, il devait en prendre soin. Ou tout du moins tenter de lutter contre ses pulsions naturelles de rejets et rester à ses cotés.

 

Sans laisser le temps à Duo de prévenir leurs amis qu’ils ne rentraient pas avec eux, Heero l’entraîna jusqu’au taxi qui l’attendait, direction cette maison où ils avaient vécu quelques mois d’un bonheur absolu.

Si Wufei et Duo y avaient déjà récupéré leurs affaires personnelles, il y avait une chose que son compagnon n’avait pas prit, ignorant tout simplement son existence.

 

A leurs arrivés, un notaire au visage pincé les attendait pour régler les dernières questions concernant la  succession.

 

- Monsieur Yuy, j’ai quelques papiers à vous faire signer pour que tous ceci soit définitivement à vous.

- Je ne veux récupérer qu’un objet m’appartenant.

- Tout vous appartiendra dans quelques secondes après ces dernières signatures.

- Je parle de quelque chose ayant été en ma possession bien avant la mort des Noventa.

 

Las de toute cette administration, Heero céda une fois de plus, inscrivant sa signature sur les nombreux documents tendus. Ceci fait, il pu se diriger où il souhaitait.

 

- Bien. Que voulez-vous faire des différents lieux de résidences secondaires maintenant ? Souhaiterez-vous vous destituer d’une de ces demeures ? Notre cabinet peut se charger de ces démarches à votre nom, si vous le souhaitez.

- Vendez tout.

- Quoi ?

- Vendez tout ! Les maisons, cette maison, leurs meubles, bijoux, œuvres d’arts. Tout.

- Je vois que monsieur pense à l’argent que cela représente.

 

Ne relevant pas la remarque acerbe, Heero laissa l’homme le suivre comme un chien jusque dans son ancienne chambre. Il y prit la boite offerte un mois plus tôt par son père, rangé au fin fond d’une armoire loin de tous les regards. Après quoi, il se dirigea dans la chambre de ses parents d’où il claqua la porte au nez du gratte-papier, non sans y avoir fait entrer Duo qu’il tenait toujours fermement par la main.

 

Là, il récupéra les rubans de soie utilisées par sa mère. Il pensait que Duo en aurait peut-être utilité pour ses cheveux, aussi les lui tendit-il.

 

- Duo.

- Oui ?

- Je… prends ceux que tu veux. Et choisit tout ce que tu souhaiterais garder, le reste part.

- Je…

 

Prenant des mains de son compagnon les rubans de couleur sobre, Duo réfuta la suite, les yeux baissés pour ne pas craquer. Il savait pertinemment qu’Heero ne portait aucune importance aux objets. Cela avait toujours été ainsi depuis qu’ils se connaissaient. Il n’y avait donc aucune raison que cela chance.

 

- Je n’ai besoin de rien.

- Duo…

 

Le prenant dans ses bras, un geste qu’il n’avait plus eu depuis longtemps, Heero lui chuchota quelques mots.

 

- Tu as le droit de vouloir un souvenir. Quelque chose qui te rattache à cette énième famille qui t’a été arraché. Comme ta bible, la croix et tes cheveux te ramènent à celles passées. N’hésite pas. Je ne veux pas que tu le regrettes plus tard.

- Non. Ca ira merci.

- Tu es sûr ?

- Oui.

 

Acquiesçant de la tête Duo, se laissa couler dans les bras de son compagnon. Ca faisait du bien de le sentir à nouveau si proche et à son écoute.

 

Quand les deux hommes ressortirent de la pièce, le notaire était toujours présent, ses lunettes vissées sur le nez. Imperturbable, il reprit le cours de son interrogation, trop heureux de conserver ce client richissime dans son cabinet.

 

- Que devrons-nous faire de l’argent issu des biens de la famille Noventa ? Dans quelle banque devront nous le déposer ?

- Donnez-le à un orphelinat de la ville.

- Un orphelinat. Soit. A quelle hauteur le montant de l’offrande doit-il atteindre ?

- L’intégralité.

- L’intégralité.

 

Notant la réponse donnée comme toutes les autres sur son calepin, l’homme réalisa soudain sa totale absurdité.

 

- Vous voulez rire ?

- Quoi ?

- Mais… mais c’est d’une véritable fortune dont nous parlons !

- Alors partagez-là sur les différents établissements de la ville. Une capitale doit bien en abriter plusieurs.

- Vous ne réalisez vraiment pas la nature du chiffre dont on parle.

- Si cela vous semble si indécent, donnez une somme raisonnable à chaque établissement de l‘état et élargissez à l’état voisin jusqu’à liquidation totale des biens. Mais garde à vous ! Je n’accepterais pas qu’il manque un seul dollar entre les ventes et le décompte des donations. Interdiction formelle de se servir au passage.

- Be…bien.

 

Littéralement pétrifié devant la requête ordonnée, le notaire n’y cru pas. Quel homme censé pouvait abandonner une richesse se comptant à plusieurs millions de dollars avec tant de largesse ? Etait-il lui-même si riche pour se défaire d’une telle somme ! ? C’était impensable ! Totalement inconvenant !

 

A peine eut-il le temps de réaliser les faits que l’homme était à nouveau seul.

 

*-*-*-*

 

Finalement peu surpris des choix d’Heero concernant son héritage, Duo s’impatientaient de pouvoir rentrer au Gundam Wings. Il espérait passer quelques heures seul à seul avec son compagnon. Après les jours de témoignage imposé au japonais, unique témoin de l’attentat, l’épuisant sans raison, les comptes rendus d’enquête à relire, l’organisation des funérailles et toute la gestion de la descendance, Heero pourrait enfin souffler.

Duo espérait ardemment que cela lui permet de débuter son deuil. Que le métis libère enfin cette souffrance qui devait rester tapis en lui depuis le jour du drame. Et surtout, il espérait qu’ils puissent enfin se retrouver. Ils se voyaient si peu depuis la catastrophe que Duo n’avait pas encore eu l’occasion de lui parler des restes de Wings, présents dans un coin de leur chambre au Gundam.

 

Empli de projets, les deux hommes ne pouvaient s’attendre de retour à leur nouvelle demeure à y trouver une telle effervescence. Trowa à peine aperçu avec un faitout de grande taille dans les mains, Quatre montant quatre à quatre les marches des draps dans les bras et un cri inhumain traversant tous les murs.

 

- Mais... Qu’est-ce qui se passe Quatre ?!

- Hilde est en plein travail ! Nous avons eu tout juste le temps de rentrer. Elle a perdu les eaux à peine sortie du cimetière.

 

Surexcité à cette grande nouvelle, Duo se précipita à l’étage pour soutenir la future maman.

 

Heero, lui, partit dans la cuisine où il retrouva Trowa devant une bassine d’eau prête à bouillir.

N’ayant rien à faire pour aider et ne désirant en aucun cas assister à la naissance de l’enfant, le jeune homme cherchait où se rendre pour qu’on l’oublie quelque temps.

Une volonté qui du paraître évidente aux paroles de Trowa.

 

- J’ai ramené Zéro avec nous. Je le jugeais trop jeune pour rester seul sans plus personne de sa connaissance à ses cotés.

- Il n’était justement pas trop jeune pour un tel voyage ?

- Non. C’est déjà un beau poulain.  Je l’ai placé à coté de Deathscythe.

- Dans…

- Oui dans le box n°01. Tu peux l’y retrouver si tu le souhaites. Avec l’enterrement et cette naissance en cours, nous n’avons pas encore eu le temps de nous occuper des chevaux.

- Il y a donc, Zero, Death, Heavy et Nataku

- Ainsi que Sandrock.

- Sandrock ?

- La nouvelle monture de Quatre.

- Bien. Dans ce cas, ne t’en préoccupe plus. Je m’en charge.

- Merci.

 

N’ayant mieux à faire et appréciant l’idée d’être enfin seul avec une tache manuelle, Heero partit voir le poulain de Wings placé dans le box initialement prévu pour sa mère lors de la construction des écuries associées à l’hôtel.

 

A suivre

 

[1] Pour les tatillons je rappelle qu’il n’est pas rare pour les personnalités d’attendre une semaine pour organiser la cérémonie officielle nécessaire à leur statut.

 

mimi yuy