Auteur : Mimi Yuy

Email : mimimuffins@yahoo.fr 

Origine : Gundam Wings

Genre : Romance gentillette avec marmot crampon mode koala

Couples : Aucune surprise.

 

 

 

Une semaine.

 

 

Une semaine, c’est 7 jours, 168 heures, 1080 minutes, 604800 secondes. Une poigné de rien dans la vie d’un homme. Et pourtant, un rien suffit parfois à changer toute une vie.

 

 

Lundi – p.m.

 

Heero supposa s’être endormi quelques minutes quand un bruit de porte le sortit de sa torpeur. Etait-ce Quatre qui revenait ? N’en avait-il donc pas assez fait ?

 

Rouvrant ses yeux, il aperçu la silhouette filiforme de Duo. Surpris, un coup d’oeil rapide à sa montre, lui confirma ses nouveaux doutes. Il avait bien dormi le reste de la mâtinée, soit plus de deux heures.

 

- Qu’est-ce que tu fais là Duo ?

 

Approchant, le jeune homme s’assit dans un soupir sur le bord du transat pour lui répondre, prenant bien garde de parler tout bas afin de ne pas réveiller son fils. Il les avait trouvés encore une fois si beaux tous les deux ainsi perdus dans leur sommeil. 

 

- Je suis passé voir Quatre ce matin. Je voulais essayer de savoir s’il t’aimait vraiment. Si ça lui faisait de la peine que tu ais décidé de rester à mes cotés. Il était mon plus proche ami pendant la guerre. J’avais quelques scrupules de te voler à lui aussi facilement.

- Je comprends. Mais tu as dû avoir du mal à le voir, non ?

 

Duo fut peiné et en même temps fou de joie de constater qu’à sa confidence, le regard d’Heero s’était voilé de tristesse avant qu’il ne resserre dans un instinct de protection le petit corps blottit contre lui.

 

- Oui, j’ai du poireauter deux heures devant son bureau. J’ai cru devenir fou. Quoiqu’il en soit, j’ai été surpris à son arrivée de découvrir son visage cristallin recouvert d’un énorme hématome. Je lui ai demandé comment c’était arrivé. S’il n’a pas été très explicite au tout départ, il a fini par m’expliquer être passé te voir après mon départ de la maison. Histoire de mieux comprendre pourquoi tu l’avais quitté par répondeur interposé.

- Je voulais lui parler de vive voix, mais il n’a pas dénié décroché à cet instant.

- C’est ce que je lui ai dit supposer, pour expliquer ton geste.

- Et ?

 

- Et la suite n’a que peu d’intérêt. Mise à part peut-être que la conséquence de tout cela est qu’il ne remettra plus jamais les pieds dans ma maison. Ou plutôt notre maison, si tu acceptes toujours de rester à mes cotés.

 

- Je ne suis plus sûr de pouvoir.

- Pourquoi ?

 

Ne sachant comment allait réagir Duo face à la vérité, Heero enleva doucement, sa main cachant jusqu’alors le pansement protégeant la nuque d’Angel.

 

- Qu’est-ce….

- Je suis désolé Duo mais je n’ai pas eu le temps de réagir.

- Il est tombé ?

- Oui mais….pas seul.

- Tu veux dire qu’on l’a poussé.

- En quelque sorte, oui. Nous sommes allés aux urgences. Je t’ai appelé dés notre retour mais tu ne répondais pas.

- J’ai oublié de rallumer mon portable.

- Il a refusé de me lâcher et je n’avais pas le courage de lui faire traverser la ville pour te retrouver. Alors on s’est installé ici.

- Tu as bien fait. Mon pauvre poussin. Comment ça c’est passé ?

 

Sachant pertinemment que Duo n’allait pas apprécier, Heero ne lui cacha pourtant rien de la mauvaise mise en scène vécue par lui et Quatre.

 

Attristé face au visage abandonné et encore recouvert de trace de larmes de son ange, Duo caressa tout doucement les joues de son trésor. Un geste qui eu pour conséquence involontaire de réveiller l’enfant. Observant de ses yeux nouvellement embués de larmes celui qui le tenait dans les bras, Angel s’accrocha un peu plus au vêtement d’Heero comme s’il était le seul à pouvoir le protéger. Attendrit par cette scène, Duo ne fit pas un geste, ni dit un mot. Comment agir sans traumatiser un peu plus encore ce petit être si fragile ?

 

- Angel, papa est là.

 

Aussitôt l’enfant tourna son visage poupon derrière lui pour offrir à l’américain un soulagement irréel.

 

- Tu vois. Je te l’avais bien dit qu’il ne tarderait pas à venir.

 

Duo se pencha tout aussitôt sur son fils pour le prendre dans ses bras. Mais à l’évidence, s’il voulait son père à ses cotés, il n’en avait pas moins le désir de se séparer d’Heero. N’ayant guère le choix, Duo se coucha donc en partie sur ce dernier pour qu’Angel puisse reposer tout contre eux deux. Allongé de tout son poids sur le torse d’Heero, la main sécurisante de son père sur sa taille, l’enfant se rendormit, son visage enfin dénué de toute inquiétude.

 

- C’est grave ?

- Non. Juste un choc sur l’arrière du crane. La pédiatre en chef de l’hôpital lui a fait une radio. Rien n’a été touché. Juste une coupure. C’est ce qui explique la présence du pansement pour qu’il ne la salisse pas d’avantage. Il a aussi eu un petit calmant pour la journée, alors on ne doit pas s’étonner de le voir dormir jusqu’à demain. Il faut juste rester avec lui de manière régulière qu’il soit rassuré par notre présence à ses cotés.

-  Bien.

 

Se blottissant inconsciemment contre Heero, sa tête reposant sur son épaule, Duo caressa à nouveau avec douceur les joues de son fils, essuyant ainsi les dernières traces de larmes.

 

- Je suis désolé Duo. Tout cela est arrivé par ma faute.

- Moi je sais que ce n’est justement pas ta faute. Si seulement j’avais su tout ce qui s’était passé, Quatre aurait deux yeux aveugles à cet instant.

- Duo…

 

Ne sachant pas si Heero craignait qu’il ne change un jour de comportement à son égard à l’image du si doux et tendre Quatre, passé en quelques années du stade d’ange au démon, Duo se redressa juste assez pour l’embrasser avec amour. Il avait du mal a comprendre qu’Heero ait pu être, à l’image d’Angel des années plus tôt, victime de maltraitance. Comment l’accepter de la part d’un soldat émérite capable de tuer un homme à mains nues en une seule seconde ? Comment pouvait-on subir des gestes violents quand on avait la force d’y résister ?

 

- J’ai une question Heero. La dernière avant que moi je ne laisse tout cela derrière nous.

- Je t’écoute.

- Pourquoi l’as-tu laissé faire aussi longtemps ? Tu étais un soldat. Le meilleur. Comment as-tu pu accepter que Quatre porte ainsi la main sur toi ?

- Je…

 

Devant les yeux obstinés et volontaires de Duo tout aussi emplis d’inquiétude et d’amour à son égard, Heero s’en voulu d’avoir été aussi stupide.

 

- Justement Duo. De par mon passé et ma condition physique, tout aussi violent ses gestes pouvaient-ils être à mon égard, cela ne provoquait tout au plus que quelques bleus. Rien de plus que lors de mes anciens entraînements. Raison pour laquelle cela m’importait peu. Et puis…

- …

- J’avais fini par croire que c’était…

- .. ?

- …la seule manière….

- ….

-  ….de t’oublier….

 

Embrassant délicatement les mains nippones venues à la rencontre de ses lèvres, Duo glissa lui, l’une de ses mains sur la joue légèrement ambrée de son ancien compagnon d’arme. Alors Duo l’attira à lui pour un nouveau baiser. Une caresse amoureuse qui s’intensifia non sans lenteur. Comme lorsqu’on savoure un met si rare qu’il faut lutter pour en conserver le moindre goût. Mais trop vite Heero se recula. Juste un peu. Juste assez pour parler contre les lèvres de l’être aimé.

 

- Ce n’est pas vraiment le moment d’aller plus loin Duo.

- Mais..

- Mais ton fils va étouffer si tu continues à nous serrer ainsi. Sans parler que le spectacle n’est peut-être pas des plus appropriés pour lui.

 

Baissant les yeux sur son trésor, Duo fut pris d’une rougeur qu’il ne se connaissait pas.

Angel, l’observait avec insistance, le front plié en guise d’interrogation profonde.

Nul doute qu’il n’était pas si simple pour un petit de son age de comprendre pourquoi sa nounou échangeait subitement sa salive avec son père.

 

- Oups.

- papa ?

- C’est rien mon cœur.

 

Revenant à Heero, Duo lui offrit une moue contrite devant le constat d’impuissance.

 

- Va falloir encore attendre alors ?

- Pleure pas, va. Il te reste la sieste de l’après midi.

 

Un clin d’œil associé à l’information et Duo retrouva tout son enthousiasme.

 

- Dans ce cas.

 

Se relevant sans plus attendre, Duo eut le cœur serré de voir Angel tendre ses bras pour qu’il le prenne avec lui.

 

- Laisse-moi cinq minutes mon cœur et je vous rejoins.

- Où tu vas Duo ?

- Prévenir le bureau que je fais école buissonnière pour la journée.

 

Réalisant qu’il ne devait effectivement pas être présent en pleine journée, Heero tenta de l’en dissuader.

 

- Tu ne peux pas faire ca. Tu as des responsabilités, non ?

- Et alors ? A quoi ça sert d’être le grand patron et de s’entourer des meilleurs si ce n’est pour déléguer ses fonctions quand les circonstances le nécessitent ? Tiens pour la peine, je prends ma semaine. C’est une bonne idée, non ?

 

Acquiesçant d’un hochement de tête, Heero le laissa partir.

 

- Papa ?

- Il va vite nous rejoindre.

 

Voyant que le petit refusait l’information, s’imaginant malgré leurs dires qu’il les abandonnait à nouveau, Heero se releva à son tour direction la petite maison.

 

Quand Duo en aurait fini avec son coup de fil, il s’occuperait de son fils pendant que lui préparerait un déjeuné léger pour l’enfant. Il devait bien avouer être impatient de coucher Angel pour s’assurer qu’il plonge enfin dans un long sommeil réparateur et dénué de toute douleur.

 

Ainsi, malgré les premiers refus, Duo réussit finalement à lui donner un demi-biberon de chocolat contenant une partie de ses calmants. Car assez vite, Angel s’endormit si profondément qu’il n’eut plus aucune réaction à son déplacement, terminant-là sa tété. 

 

- Tu crois que c’est normal Heero ?

- Il n’est pas plus réactif habituellement quand il plonge dans son sommeil profond. Ce qui prouve simplement qu’il est définitivement rassuré par ta présence.

- Pourquoi je te pose des questions dont les réponses sont si logiques ?

- Parce que tu stresses à mort et pour une fois à raison pour ton bout de chou. Va le coucher maintenant.

- Oui. Il sera bien mieux dans sa chambre.

 

Finalement accompagné par Heero apportant la nouvelle peluche devenue favorite dés sa découverte, Duo observa quelques minutes son fils avant de le quitter pour de bon. La porte fermée et le second baby-phone en main, il se tourna vers le japonais.

 

- Et maintenant ? On fait quoi ?

- T’as faim ?

 

Regardant Duo pour obtenir sa réponse, Heero comprit tout aussitôt que s’il disait oui, le natté exprimait une toute autre faim. N’étant pas en reste du coté de sa frustration sexuelle, Heero attira son futur amant pour s’enfermer avec lui dans la chambre paternelle. Si Duo s’attendait à le voir timide ou réservé, il serait surpris qu’il n’en soit rien. Après deux ans d’attente, Heero comptait à présent obtenir une débauche de sexe. Un vœu qui n’était pas pour déplaire au châtain.

 

*-*-*-*

 

Le réveil affichait 17h30 passé, quand les deux hommes cessèrent tout aussi subitement ce qu’ils avaient débuté en cette étrange après midi de luxure. Près de quatre heures d’efforts physiques récompensés par une plénitude mentale jamais égalée mais aussi un épuisement total de tous leurs membres. A croire qu’ils comptaient rattraper au plus vite, l’équivalent de deux ans de pratique régulière.

 

Ils somnolaient tous deux blottis l’un contre l’autre malgré la chaleur ambiante quand un bruit indistinct se fit entendre. Ce n’était rien de plus qu’un murmure ou un simple souffle plus prononcé. Mais ce dernier provenait de la chambre d’enfant.

 

- Heero ?

- hum ?

 

Somnolant son visage enfoui dans le cou du natté, plus natté du tout, Heero ne rouvrit aucune paupière, ni ne souleva aucun millimètre de son corps épuisé.

 

- Tu crois qu’il est réveillé ?

- Tu ne le sauras qu’en allant le chercher.

- Pourquoi moi ?

- Parce que c’est toi qui dois passer aux yeux de ton fils pour le héros qui le sauve de sa prison.

- Je ne pensais pas que t’utiliserais un jour, ce genre de chantage affectif pour que ce soit moi qui me lève.

- Je vais être clair Duo. Tu n’as aucune chance de me faire changer d’avis.

- Tortionnaire.

 

Boudant pour le principe, Duo se leva avec beaucoup de mal, enfila un tee-shirt propre ainsi qu’un boxeur sous le regard appréciateur d’Heero ayant finalement entrouvert les yeux, avant d’aller dans la chambre voisine. Peu habitué à une telle débauche, tout son corps criait de courbatures.

 

Comme il le supposait, via les bruits rendus par le baby phone, Angel s’était bien réveillé. Aussi, tendit-il les bras dés sa vue pour qu’on le sorte de son lit.

 

- Tu veux venir finir ta sieste avec nous ?

 

Ne doutant pas une seconde des désirs de l’enfant, Duo le ramena dans sa chambre, pour y voir Heero toujours allongé mais rhabillé tout comme lui de quelques vêtements. La fenêtre ouverte leur apportait alors un doux vent frais.

 

- Ca ne te dérange pas s’il reste un peu avec nous, ici ?

- Bien sur que non baka.

 

Aussitôt, Duo installa le garçon au centre du grand lit. Il y gigota de nombreuses minutes avant de sembler satisfait. La tête reposant sur un gros oreiller moelleux, les mains de ses deux pères près de lui, Angel se rendormit tout aussitôt, rassuré par leur présence et leurs odeurs.

 

Duo heureux de le voir si confiant envers eux malgré sa mésaventure du matin, quémanda un nouveau baiser à son amant avant de somnoler à son tour.

L’avantage du grand lit et de la petite taille de son fils, c’est qu’ils permettaient à leurs pieds de venir caresser les jambes de l’autre en toute discrétion.

 

*-*-*-*

 

La journée était déjà presque terminée quand ils se réveillèrent tous les trois à nouveau.

 

- Heero ?

- hum.

- J’ai faim.

- Un peu, beaucoup ou énormément ?

- Enormément faim. Voir mortellement faim.

 

Il fallait dire pour sa défense que mis à part la sieste improvisée de deux heures qui venait de se terminer, les deux hommes n’avaient guère connu le repos de la journée, ni même prit le temps d’avaler quoique ce soit depuis le matin.

 

- Une envie précise ?

- Non. Mais rien de compliqué. Un plat de pâte ou un truc de ce genre.

- Spaghettis bolognaises ?

- Ce serait parfait. D’autant que ça reste dans mes capacités culinaires.

 

Descendant finalement avec Angel, Duo l’installa pour plus de précaution dans des coussins installés dans le grand parc du salon devant un DVD pour enfant. Si le gamin savait à présent marcher, la prise de calmant risquait de le rendre encore un peu patraque toute la soirée et une nouvelle chute n’était en rien recommandé. Aussi avait-il choisi de redoubler de vigilance quitte à en faire un peu trop ce soir-là.

 

De retour dans la cuisine, l’américain exprima clairement son souhait de s’occuper du plat de résistance.

 

- Qu’est-ce que tu fais Duo ?

- J’me rends utile dans ma maison. Tu n’es ni un invité, ni un employé ici. Alors tu vas devoir accepter le partage des taches.

- En définitif, t’as quelque chose à me demander.

- Beuh nan….

- Duo….

- D’accord, c’est bon ! T’as gagné. Je m’occupe des pâtes et toi du dessert ?

 

Aux « chibies eyes » rendus par Duo, Heero sut qu’il y avait anguille sous roche.

 

- Et tu veux quoi ?

- Y’a de la pâte feuilletée et des pommes dans le frigo.

- J’entrevois ma réponse.

- S’te plait.

- Baka.

 

Un baiser pour faire taire celui qui trop épuisé s’était contenté de lier ses cheveux en une simple queue de cheval basse, et chacun s’occupa de sa tache.

Ils étaient finalement réunis autour de la cuisinière devant leur préparation respective, quand Duo rompit leur silence bien heureux.

 

- Tu crois qu’on va s’en sortir ? Je veux dire, sexe mis à part, on va réussir à s’entendre sur la durée ? A partager les taches sans se marcher dessus ? A prendre soin d’Angel et qu’il accepte cette relation ?

 

Heero était amusé de voir comme une partie de leur vie de couple ne semblait poser aucun problème à Duo après 4h de mise à l’épreuve.

 

- Duo….. Sexe mis à part… on a tenu une semaine sans jamais rien prévoir à l’avance. Alors, on tiendra bien une vie entière, si on pense à se consulter de temps à autre.

- Tu le penses vraiment ?

- Oui. Parce que dans notre cas, chacun de nous aime autant l’autre.

- Et quand tu dis… nous, tu penses à qui exactement ?

 

Sachant pertinemment quelle était la vraie question de Duo, Heero y répondit de bonne grâce.

 

- A moins que tu ne me caches un autre enfant. Nous sommes trois dans cette maison. Et je pense sincèrement que nous nous supporterons tous pour un bon bout de temps.

 

Heureux comme jamais, Duo se boudina contre Heero pour cueillir un énième baiser. Un baiser qui malgré la décadence de l’après-midi, s’éternisa avant d’être rompu par le substitut aux spaghettis. Mais Heero ne le voyant pas ainsi, commençait déjà à s’attaquer au cou de son compagnon quand…

 

- Heero.

- hum ?

- Je ne pensais pas pouvoir te le dire un jour mais…

- Mais ?

- Je crois que ça brûle.

- k’so.

 

Amusé d’avoir réussit à faire perdre la tête à « l’être parfait », Duo s’écarta un peu pour le laisser gérer le problème. En guise de mot d’amour, il avait obtenu bien plus dans cette perdition d’Heero à son égard.

 

A l’heure affichée par la pendule murale, il décida d’aller voir les informations. Les pâtes enfin jetées dans l’eau, il avait bien dix minutes à lui. Alors il allait les passer auprès de son ange pour ne pas le laisser trop seul. Dans son couloir, à l’endroit même où une énième nounou l’avait abandonné une semaine plus tôt, Duo fit le souhait qu’ils vivent ainsi de très nombreuses années.

 

Lundi – 20h.

 

FIN

 

Et voilà une fanfic de fini qui n’aura comté qu’une semaine, du lundi 20h au lundi suivant 20h, de la vie de deux G-boys et de leur « koala » ;p J’espère que vous n’êtes pas déçus de la fin. Maintenant, pensez (c’est important si vous avez des questions concernant Quatre ! ! ! ! ! !) à aller lire le « chapitre 10 ». Ce n’est pas un chapitre mais une explication détaillée de la fic. J’aime pas faire des chapitres fantômes mais comme il est publié avec le 9, cela ne se verra pas comme une fausse update. Maintenant, si vous ne voyez pas la flèche active pour passer à la suite, remplacez juste sur votre barre d’adresse le chiffre 9 en fin de ligne par un 10 et hop miracle : la page apparaîtra :D. Ensuite s’il vous reste des questions (Après lecture du chap 10 seulement !!!) ou que vous souhaitez tout simplement un retour à votre dernière hypothétique review, n’oubliez pas de mettre votre email que je puisse vous répondre. Sans lui, ce sera impossible pour moi. Merci pour tout et à tous de votre gentillesse à l’égard cette petite fic. Moi qui me disait qu’elle passerait totalement inaperçue de par son sujet…je suis tombée de très haut. Gros merci et à très vite :D

 

mimi yuy