Auteur : Mimi Yuy

Email : mimimuffins@yahoo.fr 

Origine : Gundam Wings

Genre : Romance gentillette avec marmot crampon mode koala

Couples : Aucune surprise.

 

Avant propos à ne pas lire quand on s’en moque ;p

Je me demande encore pourquoi j’ai eu cette idée et plus encore comment j’ai fais pour l’écrire aussi vite. Cette histoire me semble un peu « différente » de mes habitudes. (Encore plus niaise et dénuée de scénario que toute les autres réunis lol ^-^’’) Moi qui n’aime pas les gnomes (à comprendre enfant en bas age) je m’étonne de mon indulgence à leur égard ^_^’’. Cette histoire aurait pu être une originale. Mais j’y ai pensé initialement avec les personnages de Gundam alors… cet anime étant définitivement ma muse intarissable, je la lui laisse avec plaisir. Si vous cherchez une influence, il y’en a deux, le bouquin  « Joli papa » et le manga « Global Garden ». Et encore c’est inconscient. Mais avec du recul, c’est claire que cela ne peut venir que d’eux ^_^’’ Je « tombe » mal car il y a beaucoup de fanfics GW actuellement avec des gamins, alors j’espère qu’on m’accusera pas de copiter sur mes voisines ^_^’’. Dans mon cas, cela reste à mes yeux une histoire originale adaptée par la force de mon inconscient aux G-boys. Donc ne vous étonnez pas en lisant cette fanfic. Certains la trouveront normale, d’autres totalement à l’ouest et moi, très sincèrement je m’en moque. J’avais juste besoin de l’écrire pour me redonner envie d’écrire (compliqué ^_^’’). Initialement c’était une one shot mais au vu de sa longueur, je l’ai finalement découpé. Les chapitres ne sont pas homogènes et tout n’est pas dis sur tout. Mais pour moi les silences sur certaines parties étaient volontaires. Désolé si ça agace ^_^’’ Bonne lecture quand même.

 

 

 

Une semaine.

 

 

Une semaine, c’est 7 jours, 168 heures, 1080 minutes, 604800 secondes. Une poigné de rien dans la vie d’un homme. Et pourtant, un rien suffit parfois à changer toute une vie.

 

 

 

Lundi – 20h du soir.

 

Il n’en pouvait plus.

Cela ne pouvait plus durer.

Les réunions au bureau ne cessaient de s’accumuler depuis des jours, l’obligeant à rentrer de plus en plus tard.

Et il devait bien avouer dans son fort intérieur qu’il repoussait de plus en plus ses heures de retour dans la crainte de ce qu’il découvrirait.

Ce soir-là ne faisait pas défaut. Comme la veille et l’avant-veille et les jours précédents, les pleures de l’enfant s’entendaient avant même qu’il n’ouvre la porte de sa petite maison de banlieue.

Un lieu agréable pourvu d’un jardin de belle taille, d’une demeure spacieuse et moderne  dans un quartier calme et familiale non loin de la capitale. Ses voisins avaient accueillis le père célibataire qu’il était devenu avec beaucoup de gentillesse et une pointe d’indifférence. Rien d’anormale dans un monde trop grand pour se connaître tous.

C’était le lieu parfait pour qui voulait élever un enfant au calme. Un lieu parfait pour une vie parfaite.

Mais Duo maxwell, ex-terroriste et ex-soldat de l’armée pour la paix devait l’admettre, ce n’était plus aujourd’hui que le lieu de son échec total. Malgré tous ses efforts, il n’arrivait plus à prendre soin seul de son fils.

 

- Bonjour. C’est moi.

- M. Maxwell, c’est impossible. Je suis restée jusqu’à votre retour par égard pour cet enfant. Personne n’aurait le cœur de le laisser seul à cet age, mais je refuse de venir demain. Vous devrez trouver une autre nounou.

 

A peine eut-il le temps d’attraper le colis éploré de 6kilos dans ses bras que la femme avait déjà pris son manteau et sac et refermé la porte derrière elle.

Combien de personne était passée une à une s’occuper du petit Angel sans tenir plus d’une journée ? Oh bien sur, certaines bonnes âmes avaient tenu une semaine. Mais elles étaient rares. Très rares

 

Faisant face au visage rougi de désespoir de l’enfant, Duo tenta de le calmer. Mais lui non plus n’y arrivait plus. Les assistantes sociales lui avaient dit que les premiers temps étaient les plus durs. Comme elles avaient eu tort !

La première année c’était merveilleusement bien passé. Duo avait prit quelques mois de congés parental pour qu’ils apprennent à se connaître puis organisé un retour progressif à son travail. Tout c’était déroulé à merveille jusqu’à ces derniers mois. Angel refusait toujours de marcher malgré ses deux ans. Mais de parler aussi. Après un développement parfait, il ne progressait plus du tout. Pire il régressait. Ne jouait presque plus. Refusait de s’alimenter. Tant et si bien que seuls les cris et la colère régissaient sa vie depuis plus de 60 jours.

 

Et ce soir, toujours incapable de faire cesser les pleures, Duo était à bout. Il ne savait plus quoi faire. Aucun pédiatre n’avait trouvé la solution.  C’était à en mourir de douleur à voir ce pauvre trésor se tordre dans tous les sens, à en souffrir plus que quiconque.

 

Ne sachant plus quoi faire, Duo lâcha sa sacoche, prit une couverture sur le divan et repartit son enfant emmitouflé dans les bras en direction de la voiture.

Refusant de rendre le petit aux institutions familiales, il allait demander de l’aide à la dernière personne encore capable de lui en fournir.

Le médecin le lui avait dit. « Trouvez une personne douce et calme qui puisse apaiser son esprit torturé. Un ami qui pourrait vous venir en aide quelques jours pour prendre l’enfant et ainsi vous soulager. »

A cette description, Duo pensait à une personne. Un bon ami, un frère d’arme. Même s’ils ne s’étaient plus revus depuis des années, tous conservaient cette habitude d’envoyer aux autres quelques mots par mois pour garder le contact. L’objective inavoué de cette attitude était de continuer à savoir où se trouvaient les autres dans l’hypothèse où il fallait venir au secours d’un des leurs.

 

Ce soir, le cas « extrême » supposé et redouté de tous, avait été atteint pour Duo.

 

*-*-*-*

 

Comme chaque soir depuis des mois pour ne pas dire années, rien n’allait.

Le repas trop salé, la viande trop cuite, le dessert indigeste car trop calorique.

Tout cela pour un final cent fois répétées.

 

- De toute façon j’avais déjà mangé. Je suis fatigué, je vais me coucher. Ce en quoi tu dois être ravi vu comme tu apprécies de partager mon lit ces derniers temps.

 

La sentence étant tombée et il n’y avait plus rien à ajouter.

 

N’ayant effectivement aucune envie de rejoindre Quatre dans leur chambre quand il était dans cet état de colère, Heero prit le temps de ranger le salon et la cuisine des débris récoltés au cours de la soirée.

 

Il n’était pas encore minuit quand on sonna à la porte d’entrée du loft moderne et high tech qu’ils habitaient depuis près d’un an. Surpris et curieux, Heero se pressa d’aller ouvrir, histoire d’éviter qu’un réveil inopiné ne s’ajoute à la colère du blond.

 

- C’est pour quoi… Duo ?

- Je … Heero ?

- Qu’est-ce que tu fais…là ?

 

Heero n’avait pas terminé sa phrase qu’une forme se mouva dans les bras de son ancien compagnon d’arme avant démettre de forte corde vocale.

 

- Heero

 

Face aux sentiments de panique et de désespoir peint sur le visage de Duo, Heero cru bon de le décharger de son poids. Attrapant avec empressement ce qui semblait être un bébé, il calla avec des gestes sûrs l’enfant contre son torse, de sorte à porter tout son poids d’une main sous ses fesses et maintenir de la seconde, le visage poupon contre son cœur. Une seconde plus tard et le silence se faisait à nouveau.

 

Toujours debout les bras ballant devant la porte d’entrée, Duo n’en croyait ni ses yeux, ni ses oreilles. Non seulement il pensait trouver Quatre à cette adresse et non Heero. Mais ce dernier avait réussi l’impossible. Calmer en quelques secondes à peine des pleures qui n’avaient cessé depuis le matin.

 

- Comment as-tu réussi ?

- Qu’est-ce- que tu fais là Duo ? Et à qui est cet enfant ?

- A moi. Il est à moi. Tu es mon sauveur.

 

N’y comprenant pas grand chose, Heero fit entrer son ami dans l’appartement avant de refermer la porte sans un bruit. Un regard vers l’escalier menant à l’étage et il soupira. Une attitude que Duo comprit assez vite.

 

- Je suis désolé. Je suppose que je vous ai réveillé.

- hum ? Non, je ne dormais pas encore.

- Mais Quatre oui, c’est ça.

- Oui, il s’est couché tôt. Son boulot est épuisant ces derniers temps.

- Je n’en doute pas.

 

- Je suis désolé de te dire ça ainsi Duo alors qu’on ne s’est pas vu depuis très longtemps. Mais pourquoi tu es venu à cette heure ?

- Pour lui.

 

Finalement assit à la table du salon, Duo afficha toute sa détresse, en résumant succinctement la situation et son besoin d’aide. Depuis que je l’ai adopté je n’ai jamais eu aucun problème. Mais ces derniers temps, il est devenu insupportable. Je n’arrive plus à le faire manger, dormir ou juste garder sous silence quelques instants. Ce n’est bon ni pour lui, ni pour moi.

 

- Tu n’as pas essayé de trouver de l’aide en engageant une baby-sitter ou une nounou spécialisée ?

- J’en ai usé plus que tu ne le crois. J’en suis à une par jour depuis deux semaines. Tu es la première personne depuis des lustres avec qui il devient si étonnement sage.

 

Pour être sage, il l’était. Angel somnolait définitivement dans les bras à l’évidence réconfortant et rassurant de l’ex-perfect soldier.

 

- Si j’avais su que tu étais si doué avec les enfants, je t’aurais engagé dés les premiers jours d’orage.

- Ne dis pas de bêtises. Ca doit être un hasard. Je n’ai jamais eu d’enfant dans mon entourage avant cet instant.

- Ben on peut dire que t’as déjà la fibre paternelle, vu la manière dont tu le tiens. J’ai du apprendre pendant une semaine avec une pédiatre pour avoir les bons gestes. Et toi tu affiches une décontraction déstabilisante pour moi.

- Tu devais être gauche par peur de lui faire du mal. C’est normal qu’on tremble de peur quand il s’agit d’un être qu’on aime.

 

A cette réponse, Duo ne pu s’empêcher de sourire. C’était si agréable de discuter à nouveau avec Heero. Cela faisait si longtemps qu’ils ne s’étaient pas vu. Chacun avait fait son chemin et vécu sa vie depuis leur départ de l’armée. Et maintenant qu’ils se revoyaient en pleine nuit pour cause de pleures d’enfant, Duo prenait conscience que son ami lui avait terriblement manqué.

 

- Ca fait plus d’un an qu’on ne s’est pas vu tous les deux. Je suis triste que ce soit pour une telle occasion. En fait, je suis surtout triste que l’on ne se soit pas vu plus tôt. Je n’aurais pas du me laisser happé par mon boulot et Angel. Ce n’est pas une bonne excuse pour ne plus voir ses amis.

- Peu importe Duo. Finalement, tu es là. Ca me fait vraiment plaisir de te voir.

- Vrai ?

- Toujours.

 

Heureux à cette seule réponse, Duo se sentit renaître. A moins que ce soit la joie de voir son enfant enfin en paix.

Voyant l’américain observer son fils avec un amour indéniable ? Heero se releva pour le lui rendre.

Mais alors que Duo ouvrait ses bras pour le prendre, Angel chouina de nouveau. Nul doute que les pleures reprendraient s’il retournait auprès de son père.

Un constat effrayant qui fit perler quelques larmes dans les yeux améthyste.

 

- Duo ?

 

Essuyant rageur ses perles d’eau salées, Duo tenta de faire bonne figure. Mais cela n’eut qu’un maigre effet.

 

- Ne t’inquiète pas. C’est fréquent qu’un enfant repousse parfois ses parents.

- Qu’est-ce que tu peux en savoir, ni toi ni moi n’en avons eu de parent ?

 

Loin d’être une remarque acerbe, Duo attendait une réponse. Il voulait qu’Heero lui confirme à force d’arguments qu’il avait raison. Il voulait qu’on le rassure. Parce que sinon, tout cela signifiait qu’il était un mauvais père.

 

- Parfois l’amour est si fort qu’il en devient étouffant Duo. Ce n’est pas par rejet qu’il te repousse. Il a peut-être juste besoin d’un peu d’air.

- Ce n’est qu’un bébé.

- Que tu aimes…sûrement beaucoup trop.

- On n’aime jamais trop Heero.

- …

 

Aux yeux abaissés du nippon, Duo regretta ce qu’il venait de dire. Il était vrai qu’un amour non partagé faisait d’autant plus mal qu’il était fort.

 

- Pardon.

- Tu n’as rien à te faire excuser Duo.

- Je pense qu’il est temps que je parte.

- Tu m’as l’air vraiment épuisé. Ce ne serait pas raisonnable de prendre la voiture dans cet état avec un enfant. Sans compter qu’il n’a pas l’air très enclin à me lâcher.

 

Apercevant les petites menottes fermement serrées contre sa chemise, Duo ne pu qu’admettre à nouveau sa défaite.

 

- Tu devrais rester pour la nuit. Il y a une chambre d’amis ici.

- Mais Quatre..

- Je préfèrerais qu’on le laisse dormir cette nuit si cela ne te dérange pas. Tu lui parleras de ce pourquoi tu es venu le voir demain matin. Ca te convient ?

- Bien sur, mais…

- Tu as mangé ce soir ?

- Non, je suis partie dés mon retour. J’habite à 2h d’ici.

 

Ayant répondu par réflexe, Duo prit subitement conscience de ce que cela impliquait.

 

- Mais ce n’est pas la peine de te déranger pour moi Heero

- Je n’ai pas dîné moi non plus, alors si tu acceptes de manger des restes avec moi, tu es le bienvenu dans la cuisine.

- Tu n’as pas … ? Mais je croyais que…

 

Heero étant déjà partis vers sa cuisine, Duo observa intrigué l’étage supérieur. Comment se faisait-il qu’Heero n’ait pas encore dîné si Quatre était déjà là et endormi ?

 

Ne voulant pas s’immiscer dans la vie privée de ses amis, Duo pressa le pas pour rejoindre le lieu indiqué comme salvateur pour sa faim.

 

- Tu es sur que tu ne veux pas que je t’aide Heero ?

- hm hm.

 

Avec une dextérité hors du commun, Heero réussit à sortir divers plats du frigo, en réchauffer certain et mettre la table tout en gardant Angel fermement calé contre l’une de ses épaules. Après une seconde tentative ratée de décrochage, le koala semblait avoir élu domicile à cet endroit pour la soirée.

 

Quelques minutes plus tard, ils mangeaient tous deux avec appétit discutant plus tranquillement des changements dans la vie du natté.

 

- C’était super bon.

- Dessert ?

- Je ne veux pas abuser.

 

Ignorant les paroles qui se voulaient raisonnables quand les yeux criaient eux à la gourmandise, Heero déposa une sorte de fine tarte aux pommes, à l’allure étrange et dorée.

 

- C’est quoi ?

- Tarte au caramel.

- Avec des pommes.

- hum… le sucre caramélisé enrobe la pâte sur ses deux faces, tout en accolant les fines lamelles de pommes déposées au fond comme pour une tarte tatin. Le tout est croquant car il n’y aucun graisse ajouté.

 

Légèrement tiédi, le met croquant et fondant était succulent.

 

- J’ai jamais rien mangé d’aussi bon.

- Idiot.

- Tu rigoles mais j’aimerais penser à m’acheter de tels desserts parfois. Faudra que tu me donnes l’adresse. Même si c’est loin de chez moi, je veux renouveler cet instant de perfection.

- Alors tu reviendras ici à l’occasion.

- Pourquoi ? Tu gardes ton adresse secrète ?

 

Finissant sans aucun mal la dernière part d’une tarte qu’il avait presque mangé à lui seul, Duo observa Heero débarrasser la table avec des gestes trahissant une habitude routinière.

 

- C’est moi qui l’ai faite. Et un peu de pâte feuilletée, sucre et pomme ne méritent pas tant d’éloge.

- Chacun ses goûts. Et moi je pense que c’est digne d’un grand chef. En tout cas, je garde en mémoire que tu es devenu un parfait cuisinier. Si j’avais su, je serais passé te voir plus tôt.

 

Murmurant un baka faisant sourire Duo qui n’était pas sourd, Heero rouvrit un nouveau placard.

 

- Café ? Thé ?

- Un thé ne serait pas de refus pour complaire ce si bon dîner mais ça ne sera qu’à une condition.

- ?

- Tu vas t’asseoir avec mon monstre de koala et c’est moi qui te l’apporte. Je ne sais pas comment tu as fait pour tenir jusqu’ici. Il a beau être léger c’est un poids mort dés qu’il s’endort

- Je peux rester ici.

- Et tu peux aussi te détendre chez toi quand un pique-assiette vient te parasiter comme je le fais.

- Duo….

- Aller.

 

Soupirant pour la forme, Heero prit le chemin du salon avant de s’arrêter.

 

- Le sucre…

- Je le trouverais soit sans crainte et les sachets de thé aussi. Aller…. Zou … dehors

 

Heero définitivement partit, Duo brancha la bouilloire électrique après l’avoir rempli. Le temps de trouver thé et sucre et l’eau était chaude. Il allait jeter les emballages des sachets quand le contenu de la poubelle l’intrigua particulièrement. Des assiettes cassées. Bien que le terme d’explosées serait plus approprié. Des verres brisés aussi. Nul doute que le dîner n’avait pas eu le temps de commencé avant son arrivé. Ce qui expliquait maintenant la raison de plats encore copieux et d’un dessert intouché.

 

Qu’est-ce qui se passait dans cette maison ? Un coup d’œil plus observateur montrait une cuisine impeccable.  Depuis quand les gens normaux qui s’engueulent, rangent à ce point les lieux du conflit après l’orage ?

 

Ce qu’il voyait ne lui plaisait pas. Vraiment pas.

 

Apportant finalement les deux tasses fumantes dans le salon, Duo se sentit un peu plus fautif. A force de l’attendre, Heero s’était endormi, Angel fermement maintenu contre lui. Déposant son plateau sur la table basse, Duo voulu reprendre son fils pour soulager Heero. Mais une fois encore ce dernier, malgré son profond sommeil, lui fit comprendre qu’un tel geste serait rejeté en force.

 

Soupirant, il réussit non sans mal à faire coucher Heero sur le canapé. Encore une fois, l’attitude du jeune homme dans sa manière de trouver une position confortable tout aussitôt, trahissait une étrange habitude. Les périodes difficiles existaient pour tous les couples. Mais pourquoi dormir sur un canapé quand une chambre d’ami vous tendait les bras.

 

- Heero, qu’est-ce qui se passe ici ?

 

Une caresse éphémère pour qu’elle ne soit pas sentit par son ami et Duo aperçu grâce à Angel tirant sur la chemise, la présence de marques faciles à reconnaître pour tout combattant. Que faisait Heero pour avoir des hématomes sur le torse ? Avait-il reprit la pratique d’un sport violent ?

 

N’en pouvant plus de toutes ces questions, Duo se releva subitement en colère.

Cela ne lui ressemblait pas, mais il était bien décidé à profiter du sommeil de ses amis pour trouver des éléments de réponse en fouillant un peu leur appartement.

 

A suivre

mimi yuy