Auteur : Mimi Yuy 

Email : mimimuffins@yahoo.fr

Origine : Gundam Wings

Disclamer : T_T G-boys pas à moi

Genre : Leçon de natation en 6 leçons

Couples : 1+2 et 3+4

 

* texte entre deux étoiles * = pensées du personnage

texte en italique  = ce que l'auteur ne peut s'empêcher d'ajouter

 

 

Histoire d'eau.

 

 

Leçon n°1 : Ne pas respirer sous l’eau.

 

Une silhouette s'échappa du centre de contrôle de l'impressionnant navire de guerre.

 

Malgré les grandes bourrasques de pluie et les éclairs violents qui déchiraient le ciel, les pilotes de Gundam combattant les MS ennemis entreposés dans le transporteur, pouvaient suivre l'évolution du jeune homme sur le pont supérieur.  Ce dernier était poursuivi par une troupe entière de soldats tous plus en colère les uns que les autres.

 

Heero – Qu'est-ce qu'il leur a encore fait pour les mettre dans un état pareil ?

Trowa – J'espère qu'il n'a pas renouvelé le petit sketch de la dernière fois.

Wufei – Dites le nous si on vous dérange !!!!!!! * J'y crois pas ! Où allons nous si "regard-de-la-mort" et "porte-de-prison" se mettent à échanger des banalités en pleine mission *

 

Tous se passait au mieux quand le jeune homme perdit l'équilibre sous l'impact d'une balle.

 

Quatre – Duo !!!!!!!!!!!!!

 

La balle ne semblait pas l'avoir touchée vu comme le garçon battait des bras, mais cela ajouté aux brusques mouvements du bateau sous l'effet de la tempête force 8 qui se déchaînait, suffit à le déséquilibrer suffisamment pour qu'il tombe à pic au fond de l’océan.

 

Trowa – Heero, Je ne le vois pas remonter !!!!

Heero – Quoi ?

 

Il tourna dans tous les sens avec Wings sans succès. Où pouvait-il être passé ?

 

La proximité d’une falaise rendait impossible toute immersion du Gundam sans que ce dernier ne s’écrase contre les rochers. Mais si un telle machine n’avait que peu de chance de s’en sortir que dire d’un homme. Heero ne réfléchit pas plus de deux millièmes de seconde. Il ouvrit le cockpit et sauta

 

Quatre – Heero, tu n’y arriveras jamais, la mer est trop déchaînée !!!

 

Il n’avait pas terminé que déjà il lui était impossible de distinguer la silhouette du pilote dans la tempête.

 

Trowa – Laisse le faire. Si quelqu’un peut nous le ramener, c’est bien lui.

 

Heero passa un long moment sous la surface avant d’apercevoir la longue natte brune suivre, impassible, le courant qui la dirigeait inexorablement vers les falaises.

 

Heero – * Cet idiot a du s’assommer dans sa chute *

 

Il attrapa avec poigne le corps inerte et fit de son mieux pour le remonter à la surface puis pour les diriger vers la rive sans lui faire boire plus d’eau. Dans les airs, la tempête ayant redoublée de puissance, il devenait impossible aux pilotes de distinguer leurs ennemis.

 

Trowa – Partons !

Quatre – Mais on peut pas les laisser seuls !!! On doit attendre encore !

Wufei – A quoi bon ? Même s'ils réussissent à remonter à la surface nous serons incapable de les apercevoir. Si ça se trouve ils nous attendent déjà depuis longtemps.

Quatre – Ne dites pas ca, il faut…

Trowa – Quatre ! Wufei a raison. Heero se doute bien qu'il nous est maintenant impossible de leur porter secours. Le mieux que nous aillons à faire est de récupérer leur Gundam et de partir à leur recherche en partant de la côte. S'ils s'en sont sorti c'est vers elle qu'ils se dirigeront.

 

Wufei pris DeathScythe tandis que Trowa se chargeait de Wings zéro.

 

Trowa – Quatre, dépêche toi !

Quatre – Duo, Heero, je vous en supplie, restez en vie !!

 

 

Heero arriva enfin sur la plage.

 

Le chemin avait été long jusque là et ce temps venait peut-être d'être fatal à son ami. Aussi, à peine sortis de l'eau salée, il tenta un très long massage cardiaque entrecoupé de bouche à bouche. Combien de temps avait-il répété les mêmes gestes. Il n'aurait su le dire. Une seule chose était sûre, il ne cesserait qu'avec le retour à la vie du Dieu de la mort. Et ce pour quoi il priait de tout son cœur arriva enfin.

 

Il ouvrit difficilement les yeux. Mais ses efforts n’avaient pas été fait en vain. Qu’espérer de mieux que deux petits yeux de couleur cobalt emprunts d’inquiétude et des lèvres qui se détachent des vôtres.

 

Duo - * Ô_Ô Des lèvres !!!!!!!!!!!!!! *

Heero – Ca vas ?

 

Il allait lui répondre quand l’eau remonta à sa gorge l’obligeant à la cracher sur le sable.

 

Heero – N’essaie pas de parler tout de suite.

 

Duo devait rêver. Il lui semblait voir des larmes couler le long des joues du soldat parfait.

 

Duo - * C'est la pluie idiot, pourquoi veux-tu qu'il se mette à pleurer ? *

Heero – Trowa doit se douter de notre situation, ils ne vont donc pas tarder à venir nous chercher. En attendant, on reste trop exposé sur cette plage alors on va avancer un petit peu. Tu t’en sens capable ?

 

Duo fit signe que oui d’un coup de tête et s’apprêtait à se lever quand Heero lui présenta son dos.

 

Heero – Grimpe !

Duo – C’est bon, je peux marcher.

Heero – Je ne te demande pas si tu peux marcher mais de grimper !

 

Comme l'assassin ne se décidait pas, l'homme au regard de glace insista.

 

Heero – Je ne te laisse pas le choix. C’est ça ou une position nettement moins confortable

 

Duo n’apprécia pas le ton employé mais s’exécuta malgré tout, se sachant trop faible pour riposter physiquement face à lui.

 

Duo - * Ce fou serait capable de m'assommer pour que je reste tranquille *

 

Ils marchèrent (enfin Heero marcha) un bon moment sous un vent glacial durant lequel l'Américain finit par s’endormir profondément, laissant reposer sa tête sur l’une des épaules de son sauveur. Ce dernier eut un profond soulagement en repérant une petite camionnette se diriger dans leur direction.

 

Heero – * Trowa ! Je savais que tu nous retrouverais *

 

 

Arrivés devant la maison qu’ils utilisaient comme planque, Quatre voulu réveiller l’apprenti poisson.

 

Heero – Pas la peine, je vais le monter directement.

 

Heero reprit donc pour la seconde fois dans la journée le pauvre Duo dans ses bras pour le déposer délicatement sur son lit. Trempé jusqu'aux os, il prit ensuite l'initiative de lui retirer sa tenue de combat pour un pyjama « made in Quatre », avant de le calfeutrer bien au chaud sous une grosse couette moelleuse.

 

 

Au rez-de-chaussée.

 

Quatre – C’est fou ce qu’il peut être protecteur quand il s’y met.

Trowa – Ne lui en veux pas. Il a dut avoir très peur.

Quatre – Je le sens bien, d'ailleurs il continue d'être extrêmement inquiet.

Wufei – Il y a de quoi, une personne peut très bien mourir plusieurs heures après avoir échappé à une noyade.

Quatre – Comment ?

Wufei – Toute l'eau accumulée dans son corps n'étant pas rejetée pas les voies normales, elle s'accumule dans les poumons provoquant une noyade post traumatique

(Si vous y croyez pas aller vous plaindre à ''Malibu Beach'' pour leurs supers explications ^_^°)

Quatre – Pourquoi ne l'emmenons nous pas à l'hôpital dans ce cas ?

Trowa – Nous nous sommes fait très repérer, et si nous y allons il faudra en sortir par la force. Nous ne pouvons pas nous le permettre.

Quatre – Alors quoi ? On va le laisser mourir ici ?????

Heero – (venant de redescendre) Nous n'irons quand cas de nécessité.

Quatre – Heero ?

Les trois pilotes fixèrent le jeune homme qui n'apprécia pas beaucoup leur manque de retenu !

Heero – Quoi ?

Quatre – Heu.. rien ! * Tu viens juste d'émettre la possibilité de faire tomber toute une mission pour Duo ^___^ *

 

 

Duo se réveilla en pleine nuit pour se précipiter dans la salle de bain. Son estomac n’avait semble t’il, pas apprécié les eaux glacées et polluées du Pacifique.

 

Duo - * Je vais mourir !!!!!!!! *

 

Une main fraîche, vient au même moment à son secours, lui retenant ses cheveux.

 

Duo – * Merci Quatre, t'es toujours là pour moi, toi *

 

Quand il eut fini, il se laissa aller contre le torse du jeune arabe qui ayant constaté ses tremblements, venait de le couvrir d’une couverture.

 

Duo –  Je te remercie. Je sais pas ce qui m’arrive, mais ça va mal.

Heero – Effet post traumatique standard pour une personne ayant échappé à la noyade.

 

Il se retourna avec précipitation.

 

Duo – HEERO ?!?!?!?! Je …..je croyais que c’était Quatre.

Heero – Désolé de te décevoir.

Duo – Mais non …. enfin……je ……. Tu… 

 

Soupir

 

Duo - * Y'en a marre ! Pourquoi je suis pas fichu d'aligner trois mots, le peu de fois où il devient gentil avec moi ? *

Heero – Faim ?

Duo – Partagé. Pour être honnête je meurs de faim, mais d’un autre coté j’ai pas envie d’alimenter la machine pour subir ça toute la nuit.

Heero – Suis moi !

Duo – Hum ? (rôles inversés ?)

Heero – Viens !

 

Il lui tendit la main pour l’aider à se relever. Mais ne le lâcha pas pour autant, une fois sortie de la pièce.

 

Duo – Maaaaaaaa tu m’emmènes où là ???

 

Il le descendit au salon et le poussa sur le canapé.

 

Heero – Reste là, je reviens !

 

Duo suivit les consignes pas vraiment dans son assiette et le vit revenir avec de quoi manger.

 

Duo – Je suis pas sur que ce soit une bonne idée ça !

Heero – Maintenant que tu t’es débarrassé de l’eau stockée par ton organisme tu peux manger. Dans le cas contraire on aurait dut t’emmener faire un lavage d'estomac.

Duo – Pour ? * Est-ce que je veux vraiment le savoir moi ? * 

Heero – T’empêcher de te noyer par retardement ?

Duo – Comme les bombes ? * Mais de quoi il me cause là ? *

Heero – (désabusé par tant d’ineptie) * C'est pas vrai d'être aussi stupide * Fais moi confiance et mange si t’as faim. * au moins il parle plus quand il a la bouche pleine *

 

Duo ne se le fit pas dire deux fois et s’attaqua tel un ogre à l’assiette posée devant lui. Une fois sa « mission » terminée, le sommeil reprit le dessus et le jeune homme s’effondra quasiment sur les genoux d’Heero.

Ce dernier le laissa faire (aucun témoin et Duo trop dans la choucroute pour se souvenir de quoi que ce soit au réveil) changeant lui même de position dans le but de le garder dans ses bras un petit moment, histoire de le réchauffer un tout petit peu et sans arrières pensées essaie t-il de se persuader (^_^ faut bien qu’il se trouve des raisons valables). Mais il avait surestimé ses propres forces car il ne tarda pas à s’endormir à son tour.

Petit à petit les deux pilotes bougèrent, trouvant instinctivement la position la plus confortable pour eux deux.

 

 

Au petit matin Duo émergea le premier pour se rendre compte dans son limbe nuageux de sa position : Heero le tenait fermement, l’empêchant de faire le moindre mouvement sans le réveiller.

Mais pourquoi bouger quand on est si bien dans les bras de l’homme qu’on aime ?

Il resta blottit contre lui, profitant de cette instant de pur bonheur.

 

Heero se posa une question : Pourquoi les couvertures étaient-elles si lourdes ce matin ?

Duo n’avait tout de même pas encore vidé son armoire sur son lit comme la dernière fois ?

Puis la dite couverture bougea très légèrement laissant échapper un petit soupir de bien être. Il ouvrit les yeux quand il se rappela de tout : la mission, le sauvetage et cette irraisonnable envie de le garder contre lui. Deux lagons améthystes le regardaient avec des petites bulles de bonheur, derrière lesquelles se cachait de la crainte. Duo aurait-il peur de lui ?

 

Duo – Bonjours (plutôt timide ce matin là)

Heero – Hum !

Duo - * Glups * Je suis désolé de mettre laissé aller comme ça contre toi cette nuit, mais j’ai pas osé bouger pour pas te réveiller.

Heero – Hum ! (Quel vocabulaire cet homme, me amor **_**)

Duo - * re-glups ! * Désolé.

 

Il allait s’écarter, mais Heero ne desserra pas sa prise. Bien au contraire, laissant un Duo perplexe.

 

Duo - * Je rêve ou il veut pas que je bouge ? *

 

Et là surprise

 

Heero – Duo !

Duo – Vi ?

Heero – Ferme là !

 

Et sans rien ajouter le japonais se rendormit.

 

Duo – * Que…. Mais ….. QUOI ??????????  Qu’est-ce qu’il lui prend ? *

 

Trop surpris pour y croire il se contenta d’apprécier ce beau rêve en se blottissant contre son fantasme, se laissant complètement aller sur lui.

 

Duo - * Mouaaaaaaaaaaa je t'aimeeeeeeeeeeeuuuuuuuu *

 

 

Trowa se leva comme chaque matin le premier, pour descendre préparer le petit déjeuné d'un certain blond qui n'allait plus tarder à le rejoindre pour leur longue discussion quotidienne. Mais quelque chose semblait différent ce matin là. Il sentait une présence inhabituelle qui le poussa à se diriger vers le salon. Ce qu'il y aperçu le rassura aussitôt.

 

Trowa – * Deux âmes perdus en quête d'amour *

(oui oui Trowa devient poète à ses heures perdues, vive l’influence de Qua-chan !)

 

Il s'approcha sans bruit vers le canapé et n'avait pas encore touché l'un d'eux que le soldat parfait le regardait prêt à tuer tout agresseur.

 

Trowa – Ce n'est que moi Heero ! Désolé de te réveiller, mais je voulais savoir si nous devions l'emmener à l'hôpital ?

 

Heero se détendit en voyant qu'il ne s'agissait que de son meilleur ami, son confident.

 

Heero – Pas la peine, il s'est débarrassé du problème cette nuit.

Trowa – J'aurais pu m'en douter. Tu ne réagirais pas si bien si ce n'était pas le cas !!

Heero – Dis tout de suite que je me laisse aller !

Trowa – Rassure toi, tu restes toujours aussi efficace, je te trouve juste un peu plus "détendu" qu'hier soir.

Trowa – (lui montrant Duo de la tête) Je suppose que c'est parce qu'il ne risque plus rien ?

 

Heero le regarda à son tour avec une expression affectueuse comme il n'en avait jamais montré et lui caressa doucement les cheveux, malgré la présence d'une tiers personne.

 

Heero – Comment peut-il dormir si profondément ?

Trowa – Tout simplement parce qu'il sait que tu es là pour prendre soin de lui ?

Heero – Je ne suis pas sur d'avoir le droit de lui montrer ce que je ressens. Si tu savais comme je vous envie toi et Quatre.

Trowa – Ne dis pas ça ! Cela ne tient qu'à toi que vous soyez tout aussi heureux. Ne laisse pas ton entraînement avoir raison de votre bonheur. Et puis t’es pas censé écouter ce que dicte ta conscience toi ?

Heero – Hum !

 

Bien loin de ses habitudes, Heero laissa échapper un micro petit sourire et s'apprêta à se lever.

 

Trowa – Bouge pas ! Quelque chose me dit que tu as encore besoin de sommeil. Et puis personne n'est levé à part moi. Je reviendrais tout à l'heure.

Heero – Merci.

 

Et l’adolescent se laissa repartir, une fois encore dans un sommeil réparateur.

 

 

Quatre rejoint Trowa dans la cuisine portant l'un de ses éternels pyjamas à l'effigie de petits ours polaires.

 

Trowa – Bien dormis ?

Quatre – Hum hum, #^_^# Surtout vers le petit matin.

Trowa – M'étonne pas !

Quatre – Comment va Duo ?

Trowa – Va voir par toi même dans le salon, mais un conseil ne fait pas un bruit.

 

Trop curieux Quatre s'y dirigea et tomba sur un spectacle des plus chou.

 

Trowa – (le suivant de près) Qu'est-ce que tu en penses ?

Quatre – ^__^ L'estomac de Duo a encore frappé.

 

Il pris l'assiette vide posée sur la petite table basse et repartit dans la cuisine, son m’amour sous le bras.

 

 

Lorsqu'il rouvrit les yeux, il se trouvait enfouis sous une énorme couette bien chaude, la tête reposant sur un oreiller en plume.

 

Duo – * Zut, c'était un si beau rêve *

 

Attristé par le dur retour à la réalité, il ne quitta pas tout suite son nid. Mais le sel de l'eau de mer ne cessant de lui démanger les cheveux il dut se contraindre à se lever pour aller prendre une douche.

 

Le rescapé des eaux descendit enfin, pas très joyeux d'avoir été aussi stupide pour s'être fait aussi facilement avoir lors de leur dernière mission.

 

Heero – Enfin réveillé ?

Duo – BONJOUR, monsieur-je-fait-jamais-la-grasse-matinée, ET je vais très bien au cas où ça t'intéresserait.

Quatre – Duo !!!!!!! Alors comment te sens-tu aujourd'hui ???

Duo – Super ! C'est gentil de t'en soucier TOI !!!

 

Il visa méchamment du regard le pilote de Wings zéro, qui n'avait pas eu la gentillesse de le lui demander, ni même de prendre la peine de lui dire ne serait-ce qu'un Bonjour.

 

Quatre – Ne te vexe pas mais t'en as pas l'air. Je croyais qu'après cette nuit, tu serais tout joyeux. Qu'est-ce qui s'est passé depuis ce matin ?

Duo – Que veux-tu qu'il se soit passé, Quatre ? Je dois dormir depuis presque 24 heures !!!

Quatre – Oui mais !

 

Heero les stoppa en leur hurlant qu'ils avaient suffisamment attendu Duo et qu'ils passaient maintenant tous à table avec ou sans eux.

 

Quatre – On arrive !

 

Après leur déjeuner, Heero et Wufei durent s'absenter pour aller aux nouvelles et s'assurer que leur dernière opération était un succès.

 

Quatre – Bien, maintenant qu'il n'est plus là, tu vas me dire ce qu'il s'est passé entre vous ?

Duo – Combien de fois je vais devoir te le dire : depuis ma noyade je n'ai repris conscience que depuis moins d'une heure !

Trowa – Tu ne te souviens pas d'être descendu manger la nuit dernière ?

Duo – Non, ça c'est ce que j'ai rêvé ……….Que…….. Ô.Ô …QUOI !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Quatre – Tu te souviens maintenant ?

Duo – Me dites pas que j'ai vraiment dormi une partie de la nuit dans ses bras sur le canapé ????????

 

Un signe imperceptible de la tête de Trowa lui fit comprendre que si.

 

Duo – OH MY GOD !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Quatre – Alors maintenant que tu sais qu'il ne s'agissait pas d'un rêve qu'est-ce que tu comptes faire ?

Duo – Bah quoi. On a quand même rien fait de plus que de dormir !

Trowa – Duo, pour Heero c'est comme s'il venait de te construire la muraille de chine !

Duo – Maaaaaaaaa qu'est-ce que je vais faire mouaaaaaaaaaaaa ?????

 

La porte s'ouvrit alors sur l'intéressé laissant passer un méga silence….

 

Heero - * Qu'est-ce qu'ils ont tous à me regarder comme ca, ceux là ? * …

 

………Que Wufei brisa :

 

Wufei – Nouvelle mission !

 

A suivre…